PETITION POUR L'AMELIORATION DU PERISCOLAIRE MATERNEL.

PÉTITION À L’ATTENTION DE M.BÉNISTI, MAIRE DE VILLIERS SUR MARNE

SIGNÉE PAR LES PARENTS DE L’ÉCOLE JEAN RENON

NOUS, PARENTS DE L’ECOLE JEAN RENON, SOUHAITONS DE NOUVEAU ATTIRER VOTRE ATTENTION SUR DES PROBLEMES DE SECURITE, RECURRENTS ET QUOTIDIENS, DANS LE CADRE DU PERISCOLAIRE MATERNEL.

*MALGRÉ NOS REMARQUES FAITES À L’ADJOINTE AU MAIRE LORS DU 1ER CONSEIL D’ÉCOLE ,

*MALGRÉ UN RENDEZ-VOUS  AVEC M. BÉNISTI ET MME CHÉTARD LE 19 DÉCEMBRE DERNIER,

*ET SUITE AU DERNIER CONSEIL D’ECOLE DE JANVIER 2014 LORS DUQUEL LES ENSEIGNANTS NOUS ONT ALERTES,

NOUS VOUS INTERPELLONS SUR :

L’EFFECTIF DE L’ENCADREMENT : des manques quotidiens d’effectif sont constatés au sein de notre école ; la mairie semble éprouver des difficultés à recruter des animateurs. Nous nous interrogeons sur l’origine de ce problème (statuts, contrats, salaires, conditions de travail, motivations…).

LA QUALITE D’ACCOMPAGNEMENT DES ENFANTS SUR LA PAUSE MERIDIENNE : les enseignants constatent que beaucoup d’élèves pleurent au moment des repas, refusant de se rendre à  la cantine du fait d’un manque probable de repères : les animateurs ou animatrices sont en effet rarement les mêmes.

Une solution proposée serait que les ATSEM puissent intervenir auprès des enfants sur le temps méridien, comme cela existe déjà dans d’autres communes.

LES CONDITIONS D’ACCUEIL DES ENFANTS : les parents ne sont pas satisfaits du réaménagement des locaux faisant suite à l’ouverture d’une classe occupant un espace préalablement imparti au périscolaire. Les enfants sont ,depuis septembre, accueillis dans la salle Arc-en-ciel, espace exigu ressemblant plus à une salle d’attente qu’à une salle d’activité appropriée.

LES CONDITIONS DE PRISE EN CHARGE (sécurité physique et affective) A 11H30 ET 16H30 : depuis 2 ans, tous les élèves (fréquentant ou non le périscolaire) se croisent dans les couloirs et escaliers lors de ces périodes de transition charnières.

Forts de ces constats, l’inquiétude est grandissante de confier nos enfants dans de telles conditions d’organisation et de sécurité au sein de locaux inadaptés.